C’est la vingtième déconno-charadounette en attendant le deux cent quatre vingt sixième fafiot!
Jeudi 25 Février 2010
(de déconno-charadounner à donf)
Ce matin, dès l’ aube, un pélican à plumes rases se posit sur le balcon de mon vélux. J’ ai tout de suite reconnu le pélican voyageur de Franck 77.
Il était porteur d’ une missive dans sa grande gueule qu’ il ouvrit pour que j’y plonge ma paluche velue.
A l’ instant même où j’ avais le bras dans l’ animal, Franck 77 me contactait par signaux de fumée pour que j’ intervenasse.
La bafouille disait grosso moildo ceci:
»Salut ma vieille couille de vache de Pinuche, j’ ai un taf à chier partout, j’ aurais de quoi occuper 17 fonctionnaires, en plus je suis tété au zob sec de mon pote Treiber dès qu’ il fut sec, pendu qu’ il était au bout de son drap. Je n’ ai même plus le temps de bèqueter. Chaque soir, je sors vite fait un lardon du congel mais je suis bientôt en rupture de stock, fais vite quelque chose sur le blog,………etc… »
J’ ai mis vite fait une boîte de maquereau et un claquos périmé dans le bec de l’ oiseau et je lui ai mis un coup de latte au derche pour qu’ il livre la bouffe à son proprio.
Donc, charadounette que voilu que voilou:
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Mon premier aperçut Yohann.
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Mon deuxième n’assemble pas.
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Mon troisième a sa tête.
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Mon quatrième n’est pas la.
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Mon cinquième ajuste son tir.
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Mon sixième est bien nuageux.
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Mon septième permet le soulagement.
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Mon tout est une oeuvre de culturitude.
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Creusez vous les noeuds rônes, pour les ceusses qui en ont, et n’ oubliez pas de déconno-bloguikouner à donf.
Pineau.
