(d’être gai comme un italien quand il sait qu’il aura du vin et pas ma femme, non mais!)
(Django Reinhard t- Minor Swing)
Chers déconnobloguiteurs et chères déconnobloguiteuses, bonjour!
Comme le dit si bien le pouêt :
« Ô temps, suspends ton vol!
Je dois rendre le pédalo dans moins d’une plombe…. »
Les journées n’ayant toujours que deux bras, en attendant le fafiot suivant je vais juste vous soumettre une remarque ce dont au sujet de laquelle une nympho qui m’a mis l’anus à l’orteil hier soir.
« Le Saint-père (de couilles) appelle à « accompagner » les divorcés et les gays avec « miséricorde ».
Une question me turlupine (de ch’val?) : « Pour ce fesse, doit-on utiliser la miséricorde à noeuds? »
Un gazier qui aime être en curé avec une calotte. (crédits photo: AFPêt (de nonne?))
(de se dire que si les cons font leur rentrée, la déconnitude doit répondre présente, non mais!)
(Toto – Africa)
Chers déconnobloguiteurs et chères déconnobloguiteuses, bonjour!
Vraiment, vous n’êtes pas raisonnables! Comme le dit si bien mon beau-frère, qui, je vous le rappelle, est syndicaliste sud rail à la SeuNeuCeuFeu : « Ce n’est pas tout ça, mais il fait soif! »
En fait, je voulais vous citer une pensée qu’il avait eue au sujet du temps qui passe et des trains qui restent, mais je ne m’en souviens plus. Faut dire que mon beauf pense, à la louche, une fois tous les quatre ans, c’est vous dire qu’il faut qu’il soit dans une forme olympique pour qu’il arrête d’être totalement con!
Enfin bref, j’avais décidé d’arrêter de dénoncer la connerie sur mon blogounet. En effet, cela relève d’un temps plein, et comme les journées n’ont que deux bras et que j’ai toujours ma petite entreprise à maintenir à flot, je ne pouvais plus fafioter comme il se doigte!
De pluche, Jérémy Hundoigt, mon praticien auculte, m’avait conseillé de me couper du monde pour éviter d’accumonceler la moutarde qui me titiller le nerf optique du genou chaque fois que j’entendais ou que je voyais un con ou une connerie, c’est à dire dès le poltron le minaret au saut du lit jusqu’à ce que le marchand de sable mi-fin vienne me livrer pour que j’en fasse des pâtés (les fameux Pathés Maconnerie).
Mais on a beau chasser le gaz naturel, il revient toujours ailleurs qu’à Deauville, car la bas, il n’y a que du trot!
Et puis voilà, j’ai allumé la téloche, j’ai tourné le bouton de la radio, et, machinalement, quand je m’enfile mon petit noir au bar-tabac-PMU-Loto-Presbytère de la place Enrico Machiasse de Mézieux-en-Bourbey je ne peux m’empêcher de jeter un regard glauque sur le Parigot…
Y’a pas à dire, la connerie, bien qu’elle ne soit jamais en vacances, a fait sa rentrée en force.
Alors, j’emmerde mon proctologue (ce que l’on appelle l’arroseur arrosé), je lâche mes crayons de couleurs et j’ai décidé de reprendre mon blogounet, qui, je l’espère, aura ses adeptes afin de montrer à la face du monde que ce qui distingue, dans les grandes largeurs, l’homme de l’animal, c’est sa connerie!
(Parking des enseignants de l’école Jean Desmoulins à Ville-à-Couilles-Blètes ce matin vers 9 plombes)