C’est le quatre cent soixante et unième fafiot!
Dimanche 17 Novembre 2013
(d’avoir sa mémoire qui flanche…)
(Michel Sardou – J’accuse)
Chères déconnobloguiteuses, chers déconnobloguiteurs, bonjour!
Bien que je sois patron, je vais sortir de ma réserve (la réserve du patron, bien sûr).
En effet, depuis plusieurs jours, les journaleux nous gonflent le boudin et font monter la mayonnaise ce dont au sujet de laquelle une connerie de mauvais goût pondue par une pétasse à couettes au sujet de Madame la ministre de la Justice.
Tout le monde y va de son commentaire, de son analyse, de son indignation profitant de l’occasion pour montrer sa tronche ou relancer sa notoriété.
Il n’y a pas plus tard qu’il n’y a pas longtemps, une pétition circulait pour que les animaux ne soient plus considérés comme des meubles dans le droit français mais comme des êtres vivants.
Je trouve cette démarche noble est d’une logique implacable. Mais paradoxalement, on s’amuse à faire passer les singes pour des êtres vivants de seconde zone.
Aujourd’hui, une nympho m’a mis l’anus à l’orteil :
Sous le titre « Nous sommes tous des singes français », l’actrice Jeanne Moreau signe avec plusieurs personnalités une tribune dans le Journal du Dimanche contre le racisme après les attaques dont à fait l’objet la ministre de la Justice, Christine Taubira.
« Nous aurions du réagir plus vite et plus fort », estime la comédienne estimant que non seulement la ministre ou les Noirs sont visés, mais « nous tous, quelques soient nos origines et la couleur de notre peau ». « Christiane Taubira a été blessée par cette injure dégradante, tous nos compatriotes noirs l’ont été. Mais nous aussi nous nous sommes sentis salis », écrit-elle, co-signant une tribune dans le Journal du dimanche du 17 novembre avec Florence Malraux, le metteur en scène Bernard Murat, Denis Olivennes, président de Lagardère Active, l’historien Benjamin Stora et la cinéaste Danièle Thompsom.
Mézigue, je suis est je resterais un ardent défenseur de ces animaux doués d’intelligence et nettement plus affectueux que la plupart des humanoïdes.
Je pense qu’il y aura des gaziers et des gazières qui crieront un rôt sur le bidet en lisant ce fafiot. Et bien à ces ceusses et ceuzes là, je leur dirais que j’ai autant d’humanité envers les animaux que d’animosité envers les hommes, et je leur conseillerais de lire (ou relire) ce chef d’œuvre où tout est pratiquement dit dans le titre:
non mais!
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(©franck.mar77)
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